Structures de Lewis. Ce modèle permet de représenter très simplement les molécules en écrivant la répartition des électrons de valence autour des atomes avec des points. Pour les éléments du groupe A, on représente fictivement l’élément (X) avec ses quatre cases quantiques de la couche de valence (ns, np) :
On représente ainsi chaque atome avec ses électrons de valence. En considérant que les quatre sous-couches (la sous-couche ns et les trois sous-couched np) sont au même niveau d’énergie, on rempli chacune d’elles en appliquant la règle de Hund.
Schéma de la covalence
Dans le schéma de la covalence selon Lewis, chacun des atomes liés fournit un des électrons de sa couche de valence (occupant seul une case quantique, i.e. un électron non apparié). Ces deux électrons s’apparient pour former un doublet commun au deux atomes. Pour former un composé stable, les atomes doivent avoir une configuration électronique identique à celle d’un gaz rare.
Schéma de la coordinence
Dans le schéma de la coordinence (ou liaison dative) selon Lewis, l’un des deux atomes (le donneur) fournit les deux électrons (doublet) nécessaires à la liaison. L’autre atome (l’accepteur) reçoit le doublet partagé dans une case vide de sa couche externe.
Doublets liants, doublets non liants
Seuls certains électrons de la couche de valence participent à la formation de liaisons. Des doublets non partagés existent fréquemment et restent localisés autour de l’atome qui les possède.
Liaisons multiples
Deux atomes peuvent mettre en communs plus d’un doublet électronique pour former des liaisons multiples, double ou triple.
Les liaisons simples sont des recouvrements d’orbitales moléculaires axiales appelées liaisons s (sigma).
Les liaisons multiples sont des recouvrements d’orbitales moléculaires latéraux appelées liaison p (pi).
Rupture de liaison
Il s’agit exactement de faire l’inverse de la formation d’une liaison. Dans le cas où le doublet de liaison part sur l’un des deux atomes, on l’appellera rupture hétérolytique. Dans le cas où chacun des électrons du doublet part sur chaque atome, on l’appellera rupture homolytique.
Dans le dernier paragraphe :
« Il s’agit exactement de faire l’inverse de la formation d’une liaison. Dans le cas où le doublet de liaison part sur l’un des deux atomes, on l’appellera rupture homolytique. Dans le cas où chacun des électrons du doublet part sur chaque atome, on l’appellera rupture homolytique. »
Vous utilisez deux fois l’adjectif « homolytique ».
Vous vouliez écrire :
« Il s’agit exactement de faire l’inverse de la formation d’une liaison. Dans le cas où le doublet de liaison part sur l’un des deux atomes, on l’appellera rupture hétérolytique. Dans le cas où chacun des électrons du doublet part sur chaque atome, on l’appellera rupture homolytique. »
ESt-ce bien ça ?
Il s’agit bien d’une erreur, et vous avez bien rectifié. Merci.
Excusez-moi mais il y a quelque chose qui me perturbe:l oxygène a bien 6 electrons autour tout comme on peut le voir dans le tableau de Mendelev.Cependant dans plusieurs sites et deux vidéos on voit qu il a 8 atomes.Je pensais au début que c etait juste une erreur mais a force de voir ça je me sens perdu.(a l origine je cherchais la structure moleculaire de No3- mais avec ces 8atomes je me sens encore plus embrouiller)
8 électrons pas atomes pardon